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artemystique

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Création : 25/03/2009 à 20:40 Mise à jour : 12/02/2010 à 15:47

Blog de artemystique

Pour un Ange aux ailes pansées,
Tout ce que j'ai écrit ou pensé,
Ce que j'ai écrit seul, avec elle,
Ma passion, mon Amour, mon aile...

Quand la fraîcheur de nos voix s'embrasse

Et tandis que l'âme s'embrasait en silence,
L'homme marchait à l'ombre de la chance,
Son c½ur était un ilot désert de l'absence des larmes qui l'avait desséché.
Il se sentait vide sur un sable trop chaud, sans personne à qui se raccrocher.
Et de mornes pensées en son âme tournoyant,
Tels des vautours autour de la lune, se fourvoyant.

Et voilà qu'il se mit à parler, baigné de la lumière du soleil couchant.
Il dit : « Mais que l'étoile apparaisse, qu'elle m'ôte ce visage larmoyant.
Qu'elle dissipe peine, amertume et chagrin, qu'elle éclaire mon chemin,
Qu'elle soit mon choc fulgurant, mon souffle coupé, et ma folie de gamin,
Et qu'enfin à mon tour je puisse briller sur cette toile nocturne
Pour voleter, glisser, filer au gré des v½ux taciturnes... »

Et au loin, l'astre scintille, il écoute cette voix où perce l'amère tendresse,
D'un c½ur mis à nu, qui, dans la nuit, se confesse,
Aspire à trouver en lui son unité
Et dans le silence, retentit ce souhait formulé
Comme en écho à la pamoison de son être,
Et y trouvera une réponse comme un élève en son maître.

L'astre regarde l'homme, des étoiles dans les yeux,
Mais seule une prévaut dans sa pupille aux mille feux.
L'astre, quant à lui, l'entité, un monde à part entière,
Sourit et lui prononce ces mots, telle une lumière :
« Un jour, quand viendra l'heure, cet esprit apeuré retrouvera sa candeur,
Il redeviendra tien sans que tu ne le demandes, pauvre rêveur.

« Car la Vie est ainsi faite, et tout autour de nous gravitent ces bonheurs,
Ces angéliques démons te hantent simplement parce que tu en as peur,
Alors qu'ils s'annihilent sitôt acceptés dans ton c½ur,
Viens à moi, petit sage, et je te montrerai la porte de sortie de la ranc½ur,
Viens, mon ange, je t'emmène où les voiles d'une nuit éternelle, pourtant si claire,
Se dressent au loin, là, en ces terres éloignées, inconnues, superbes et légères,
Flottant sur la mer où nos rêves brisés heurtent des rochers si hauts,
Que nos espoirs renaissent sous l'assaut des flots.

« Flottons comme Apollon, pour faire lever le soleil,
Grisons-nous comme Vénus, et sa pomme vermeille,
Ecrivons un message, donnons-le à Mercure,
Qu'il l'envoie à notre amie la Lune d'Epicure.
Que notre verbe soit entendu
Et notre spleen disparu,
Et en confiant ce v½u aux mains de ceux qui jugent,
Puissions-nous vivre au c½ur du rêve, notre refuge. »

Alors, les deux futurs amants s'en allèrent c½ur dans le c½ur.
Guidés sur les eaux de leur entrain, accompagnés de leur symbolique haleur,
Le point de départ, dans la voie lactée, de leur histoire stellaire
Se trouve, depuis hier, dans les Nils impétueux de l'éther.

Marie-Anne et Rodrigue

23 : 58

Mardi 9 décembre 2008
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#Posté le mercredi 25 mars 2009 20:49

Modifié le mardi 03 novembre 2009 16:43

Ô toi !

Nuit folle, nuit éveillée,
Nuit noire illuminée,
On a ri, parlé, veillé.

Cette concubine,
Est colombine,
Ma vitamine.

Mon moi vrai,
Ce proclamé secret,
Elle est paix.

J'ai rêvé, songé,
Avec Morphée,
Dans ses bras, allongé.

Elle était près de moi,
Sa présence et sa joie,
Je n'ai pas eu froid.

J'arrive, je cours,
Je vole à son secours,
Mes ailes, d'elle, autour.

« Ferme les yeux,
Endors tes v½ux,
Ferme les cieux.

« Réveille-les bientôt,
On y sera très tôt,
On volera là-haut ?

« Tu me le diras,
Tu me l'écriras,
Tu me réveilleras.

Rodrigue

15 : 38

Lundi, 8 décembre 2008
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#Posté le mercredi 25 mars 2009 20:53

Dévoilé

Muse aux cheveux noirs qui vrillent,
Sirène envoûtante à la voix qui brille.

Aura taillée dans les rayons du miel,
Qu'enfant, je dégustais dans l'azur du ciel.

Enfance, mon âme préférée, tu m'es revenue,
Sous une forme, des plus incongrues.

D'un ange de là-haut, venu des plafonds,
Qui me sort de mon ermitage lointain et profond.

Elle ne sait pas ce qui m'anime, ce qui m'euphorise,
Elle ne sait pas ce que sa simplicité réalise.

Dans mon âme double, et fortifiée,
Sorti de ma carapace maintenant atrophiée.

Je te tutoie, ange pur, avec tout mon respect,
Mon affect bafoué, et mon c½ur à l'aspect.

D'un vertueux tableau italien aux nuages
Incroyables par leurs formes aux rivages.

Nos mers confondues d'un blanc de pureté,
Criant le « nous », l'éphémère jeté, insulté.

Depuis toujours je te connais, dans mes rêves :
Tu m'as habité, et souvent fourni une trêve.

Aujourd'hui, à chaque instant, un très fort sentiment,
Que je croyais à jamais perdu, est renaissant.

Il crie, il hurle, il pleure, il te veut, te désire,
S'émeut des bienfaits à l'ouï de tes dires.

Il se jure qu'il se veut gardien de ton et de mon c½ur,
Il veillera sur le tien à l'infinie sentimentale valeur.

Il te dévoilera l'immensité d'un univers de folie,
Et te confiera ses secrets autrefois enfouis.

Rodrigue

1 : 23

Mercredi 10 décembre 2008
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#Posté le mercredi 25 mars 2009 20:56

Petite pensée désordonnée et amoureuse

J'ai encore relu ton texte. Ton dernier en date. J'ai allumé trois bougies parfumées que tu m'as offertes. Elles sentent très bon. Elles m'offrent à leur tour une certaine présence : la tienne. Sous une forme de flamme immuable.

D'un coup, m'as-tu dit, le spleen et la nostalgie t'ont frappée. J'ai été triste pour toi. Le ventre en furie, car me sentant tout à fait impuissant par rapport à ton malaise passager. Je voudrais tant m'envoler, planer jusqu'à toi et te prendre au creux de mes ailes.

Mon c½ur, depuis un peu plus d'un mois maintenant, est en transe. Il vibre sous une onde différente, il vrombit tellement il bat à une vitesse folle quand je pense à toi. Et quand je te vois, même en rêve, il détruirait les murs les plus épais qui me séparent de toi. Il bat de ses ailes nouvelles et m'envolerait plus près de toi, toujours plus près de toi, jusqu'à t'atteindre.

Ces derniers jours ont été un rêve éveillé que j'ai fait, que tu as fait, que nous avons fait. Tu m'as bercé et je t'ai bercée. Et tu m'as rendu encore meilleur, plus encore que je ne l'aurais pensé. Mes nuits, à tes côtés, m'ont appris ce qu'est la chaleur humaine, la vérité vraie de l'amour, et surtout, l'amour. Tes mains m'ont caressé et j'ai senti pour la première fois des caresses d'amour, de réel amour. Tes yeux m'ont regardé, et j'y ai vu une perle, une perle qui n'a pas de prix, une perle amoureuse, ce qui m'a rendu plus amoureux encore.

Tes sourires, ces appels à l'amour, m'ont été adressés et, même si je ne les voyais pas, je les ai ressentis. Ce n'est pas écrire de la poésie pour le plaisir d'en écrire que j'aligne tous ces mots. C'est ma réalité que je relate là, sur ce papier. C'est tout mon ressenti que j'expose à l'instant.

Je porte maintenant ton collier à la main droite. Il me rappelle ta présence à chaque instant. Il me rappelle que je t'aime comme jamais je n'ai aimé, il me rappelle que tu m'aimes, de ton c½ur et de ton âme entiers. Et ta voix, je l'entends en permanence dans ma tête qui flotte au sein des nuages. Et je reluis, m'étant éteint pendant quelques années avant que tu n'atterrisses dans mon paysage et l'embellisse.

Je n'ai pas envie de poser ma plume et m'arrêter ici. Mais je vais laisser place à ma signature et écrire un autre texte. Oui, un plus beau que celui-ci.

Rodrigue

Samedi 3 janvier 2009

1 : 51

Ma chambre
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#Posté le mercredi 25 mars 2009 21:00

Modifié le mercredi 25 mars 2009 21:24

Petite pensée sur cette rétrospective introspective

J'ai attendu un peu plus de vingt ans. J'ai attendu quelqu'un. Ou non. Quelqu'une. J'ai parcouru et gravi un chemin. J'ai pris certaines voies, de bonnes et de mauvaises. J'ai connu quelques joies, et j'ai essuyé quelques échecs. J'ai souri avec des personnes, qui me révélaient à moi-même. J'ai pleuré, souvent de tristesse, parfois de joie. Et je me suis fermé. Et me suis rouvert plus tard, mais jamais complètement. La peur de me perdre m'assaillait, donc au final, je ne vivais pas pleinement et entièrement.

Et tu es arrivée, sans crier gare. Tu as illuminé les voies de mon chemin, alors un peu assombri, et m'as reposé sur les rails en direction de la bonne gare, celle du bon choix de croire ce que j'ai cru directement après ta rencontre.

Tu m'as parlé, gentiment. Et une force, entre nous, s'est imposée, d'elle-même. Plus rien ne me raccrochait à rien, sinon toi à moi. Je ne pouvais plus me passer de tes mots. Je ne pouvais plus passer un moment sans penser à toi. J'étais addict de tes paroles douces. J'étais comme aimanté à ton sourire.

Je ne croyais plus en rien, j'étais déçu et aigri de la réalité, de ma réalité, avant que tu n'arrives. Et un éclair s'est abattu sur tout mon être quand je t'ai vue. Il était encore plus puissant que tous ceux qui m'ont frappé, et ce, durant ces vingt dernières années. C'était un éclair angélique, celui qui donne des ailes. Celui qui donne les ailes de Dédale, celles qui ne brûlent pas. Parce que je sais que c'est toi, et personne d'autre. Je n'atterris plus depuis que ces ailes m'ont été enfilées.

Ton premier baiser n'a pas fait que m'envoler. Il NOUS a envolés. Il a transformé le rêve en songe éveillé et en réalité. Il a transformé toute mon âme. Cette âme est redevenue enfant, à s'émerveiller pour n'importe quel détail. Et les bras qui m'ont serré, accompagnant ce baiser, n'ont jamais cessé de me faire penser que personne n'avait jamais réussi à me transmettre tant d'amour. Je me suis senti aimé directement.

Et j'ai pleuré de joie. Ces larmes étaient la manifestation de tout l'amour que tu as transformé en clins d'½il concrets. Tous ces cadeaux m'ont touché, au plus profond de mon c½ur. Ils étaient accompagnés de ton sourire tendre, le plus doux que le monde ait pu engendrer.

La nuit folle et d'amants qui a suivi a violenté toute souffrance qui m'avait ébranlé dans mon passé tant elle était douce et tendre. J'ai volé, plané, flotté, la tête dans le ciel étoilé le plus clair qui puisse exister. J'ai brûlé et me suis enflammé de désir. Et ensuite, j'ai explosé.

Et depuis ce jour, et cette nuit, je sais une chose, j'en suis convaincu et personne ne me fera changer d'avis. Je t'aime, je sais que tu ES pour moi, que tu EXISTES. Et surtout, tu es LA personne. Ce ELLE immuable, ce TU permanent qui brillent au fond de moi. Tu es cette chance, la chance de ma vie, que je ne peux laisser filer, comme ces étoiles à v½u. Je te tiens, ne te lâche plus. Je t'aime.

Rodrigue

Samedi 3 janvier 2009

2 : 18
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#Posté le mercredi 25 mars 2009 21:01

Modifié le dimanche 26 avril 2009 18:41

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